💸 “Mur du refinancement : Trump étrille Powell qui a coûté des milliards”.
Donald Trump a démarré la journée en mode bulldozer : sur Truth Social, l’ancien président a incendé Jerome Powell, le patron de la Réserve fédérale, le traitant de l’un des plus idiots du gouvernement.
📉 Taux trop hauts = croissance étouffée.
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Powell accusé d’avoir maintenu des taux d’intérêt trop élevés, paralysant l’économie américaine.
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Résultat : des centaines de milliards de dollars perdus, selon Trump: https://insolentiae.com/mur-du-refinancement-trump-etrille-powell-qui-a-coute-des-milliards-a-lamerique/
⏳ "Trop tard" à la manœuvre.
Trump reproche à Powell d’avoir attendu trop longtemps pour baisser les taux, plongeant le pays dans une situation délicate : inflation galopante, marchés fragilisés, ménages étranglés .
🐺 Le Loup Gris Analyse: la guerre des taux, enjeu de pouvoir.
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Trump veut réassurer : “Je suis le seul à comprendre l’économie réelle — pas ces technocrates.”
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Powell = bouc émissaire : relégué à « tête de turc » pour justifier la politique monétaire actuelle.
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Les prochains taux comme champs de bataille : Trump plaide pour une baisse immédiate, avant les élections.
🎯 L'avis du Loup:
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Satire politique : “Le bully de la Maison‑Blanche jette l’opprobre sur le chef des taux.”
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Humour noir : “Trump traite Powell d’idiot… l’économie fait face au désastre.”
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Analyse financière : qui a raison ? Inflation vs croissance : où placer la priorité ?
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Perspective électorale : taux bas = carte de campagne ? Trump met la pression publique.
🧨 Canine sacarstique:
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« Quand Trump gifle la Fed, c’est le dollar qui prend un coup de bambou. »
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« Trop tard pour les taux, trop cher pour les ménages. Merci pour rien, Powell. »
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« Hundreds of billions perdues ? Ironie : la “Fed indépendante”… vendue aux politiciens. »
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« Taux d’intérêt bas, victoire en 2024 : le plan B de Trump sur la table. »
🧩 Résumé final.
Trump accuse Jerome Powell d’avoir pilonné l’économie américaine en tardant avec les taux — une bérézina à plusieurs centaines de milliards de dollars. Il réclame une baisse immédiate pour relancer la croissance… et préparer son retour. C’est la guerre des taux, version présidentielle.
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