Syrie : rapatriement des enfants de djihadistes et de leurs mères – ‘Maintenant ça suffit’ clament avocats et élus

👶 Syrie : la France laisse ses enfants derrière… et le silence retentit.

1. Une trentaine de rapatriés... et plus de 170 abandonnés.

La France, après quatre opérations entre 2019 et juillet 2023, a stoppé net l’accueil des familles piégées en Syrie. Résultat : environ 50 femmes et 120 enfants français sont toujours retenus dans les camps kurdes (Roj, Orkesh, Houri, prison d’Alaya) fr.wikipedia.org+8policeetrealites.com+8publicsenat.fr+8.

2. “Ça suffit ce cauchemar” : la délégation monte au front.

Une délégation (avocats, eurodéputé M. Satouri, productrice Servan‑Schreiber) s’est rendue sur place pour filmer la détresse : visages traumatisés, illusions brisées. Un des témoins, Adem, 22 ans, enfant-soldat à 11 ans, lance : « Ça suffit ce cauchemar » policeetrealites.com.

3. La France ferme la porte, malgré la pression internationale.

Malgré les condamnations de la CEDH, de l’ONU et du Conseil national des barreaux, le gouvernement invoque la sécurité nationale. Les mères rapatriées sont poursuivies, les enfants revenus “n’ont jamais représenté un danger” fr.wikipedia.org+4policeetrealites.com+4publicsenat.fr+4.

4. Tout le monde le dit sauf Paris.

• Avocats sans frontières rappellent : “Les soldats-enfants sont des victimes de guerre” lemonde.fr+1ouragan.cd+1.

• L’Allemagne, la Belgique, la Russie rapatrient. La France non.

• Un recours judiciaire via la CEDH presse… mais la machine politique reste bloquée fr.wikipedia.org+11lemonde.fr+11ouragan.cd+11.

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🦅 Le Loup Gris Analyse : satire et charge océanique.

Scène 1 — Citoyens en Kit.
On sacrifie des vies pour la “sécurité”, on ferme la porte à des enfants qui sont nés dans ces camps, déracinés, traumatisés.

Scène 2 — Discours tranquille, réalités fracassées.
Le discours officiel : “on protège les Français.” Le discours réel : “on évite de choquer les électeurs.” Le fossé est abyssal.

Scène 3 — Hypocrisie collective.
La droite médiatique applaudit le discours anti-djihad. Mais les ONG, élus verts, CEDH, eux, crient au scandale humanitaire. Et toi, tu regardes quoi dans le miroir ?

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L'avis du Loup.

1. Satire grinçante : “On rapatrie des bombes vaginales, pas des gamins innocents.”

2. Humour noir : “La maison France, interdite aux enfants perdus… sauf s’ils sont grands et musclés.”

3. Perspective engagée : Comment faire pression politique pour imposer un retour digne ?

4. Tradition républicaine : Liberté, égalité, fraternité… oui, sauf pour les otages involontaires nés loin du sol national.

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Canine sacastique:

• « La France dit non aux enfants perdus, mais oui aux mères détenues : pragmatisme électoral ou barbarie moderne ? »

• « Ils ramènent des bombes, mais pas des victimes : logique sécuritaire ou schizophrénie légale ? »

• « Un gamin de 22 ans né en Syrie hurle ‘ça suffit’… chez nous, c’est silence radio. »

• « Rapatrié = jugé. Cassé, traumatisé… mais pas le bon vote ? »

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🧩 En résumé.

La France abandonne plus d’une centaine d’enfants et leurs mères dans les camps syriens, invoquant la sécurité nationale malgré les injonctions juridiques et humanitaires. Un choix politique assumé, un silence choquant. Et toi, lecteur : tu le vois comment ce sac à dos humanitaire laissé à moitié ouvert ?