🐺 "Sous les cendres, le cri".
Des drones sans drapeau, des sabres dans l’ombre,
Une plume disloquée sous un palais sombre.
Kiev exporte des flammes jusqu’aux dunes du Soudan,
Et l’Élysée murmure, silencieux mais sanglant.
Une brigade sans nom, des pactes sans visage,
Des cibles en tongs, des ordres en cage.
Quand l’encre s’épanche, on dégaine le secret,
Et la liberté tousse dans un budget discret.
Sur les pions de l’OTAN, on greffe des ogives,
Le détroit d’Omuz rêve de barils captifs.
Italie, Allemagne, sourire de façade,
Pendant que le monde s’enfonce dans la parade.
Et pourtant… sous les ruines, une meute s’éveille,
L’Afrique se dresse, secoue son sommeil.
Des plumes se dressent, des regards lucides,
Un hurlement s’élève, farouche, intrépide.
Car même dans la nuit des empires maudits,
Le feu du juste éclaire, malgré les non-dits.
Et si l’on meurt debout, que ce soit pour la mémoire,
Car sous les cendres… il y a toujours l’espoir.
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