🏥 Santé publique : le milliard qu’on va vous reprendre au nom de la rigueur.
Par Le Loup Gris — Le Blog qui n’enfile pas les gélules sans lire la notice.
💉 Le gouvernement doit "trouver" 1 milliard… et devinez où il va chercher ?
La situation est simple : la Sécu saigne, les comptes plongent, les arrêts maladie explosent, et les hôpitaux sont à l’agonie. Alors que faire ?
Facile : on prépare un cocktail "anti-dépenses" aux effets secondaires garantis.
https://www.lesechos.fr/economie-france/social/le-gouvernement-presse-de-degager-1-milliard-deuros-deconomies-sur-la-sante-2171711
Le comité d’alerte a donc sonné la cloche :
"1 milliard à économiser… ou c’est la spirale infernale."
⚠️ Cibles visées : malades, hôpitaux, médocs.
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Indemnités journalières ? Trop chères. Le gouvernement regarde les arrêts longue durée comme un comptable regarde une imprimante à billets.
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Médicaments ? Trop de remboursements. Le protocole avec Big Pharma pour faire des économies ? Toujours pas signé.
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Génériques, biosimilaires ? On en parle. Mais sans accord ferme, c’est du vent conditionné.
🏥 Les hôpitaux ? Activité en hausse, comptes dans le coma.
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Déficit prévu pour les hôpitaux publics : 3 milliards d’euros.
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Les établissements tournent à plein régime, mais on envisage quand même des coupes.
"Point de fuite", dit le rapport. Traduction : le trou noir budgétaire qu'on n’arrive pas à fermer.
🧨 Précédent 2007 : baisse des remboursements, prix cassés, colère garantie.
Souviens-toi, camarade. En 2007 déjà, la solution magique c’était :
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Moins de remboursements.
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Baisse des tarifs médicaux.
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Pression sur les patients, les soignants, les labos.
Et voilà qu’on remet la même potion sur le feu.
🦅 Le Loup Gris Analyse: où est le vrai dérapage ?
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La santé vue comme une dépense, pas comme un investissement.
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On coupe dans le soin, mais jamais dans les cabinets de conseil ou les privilèges d’en haut.
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La rigueur budgétaire tombe toujours du même côté : celui des fragiles.
🎯 Canine satirique:
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« La seule chose qu’on rembourse bien en France ? Le mensonge économique. »
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« Quand l’État veut faire des économies, il commence toujours par ceux qui n’ont plus rien. »
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« Le médicament devient un luxe, l’arrêt maladie une faute morale. Bienvenue dans la nouvelle hygiène de gestion. »
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« Ils soignent les comptes… en tuant les patients. »
🧩 Résumé final.
La santé française vacille sous le poids des arrêts, des hôpitaux surchargés, des médicaments trop coûteux. Et face à cela ? Le gouvernement s'apprête à sabrer : moins de remboursements, moins de soin, plus de rigueur.
Ce n’est pas une réforme, c’est un traitement de choc… administré sans consentement éclairé.
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