Opération Ormuz

🔥 L’Heure des Ombres : Bunker, Bombes & Blocus au Détroit d’Ormuz.

Les Etats-Unis bombardent finalement l'Iran.

• Le 22 juin 2025, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël, les États-Unis ont mené desfrappes aériennes sur des installations nucléaires iraniennes, que Donald Trump a déclaré  totalement détruites. Les sites ciblés incluent Fordo, Natanz et Ispahan. L'Iran a répliqué en tirant 30 missiles sur Israël, déclenchant des alertes à Tel-Aviv et Jérusalem.

• Le ministre iranien des Affaires étrangères a averti que ces attaques auraient des conséquences éternelles, tandis que l'Iran se réserve le droit de défendre sa souveraineté. L'autorité iranienne de sécurité nucléaire a affirmé qu'il n'y avait "aucun signe de contamination" et "aucun danger" pour la population.

• Benjamin Netanyahu a félicité Donald Trump pour l'attaque, affirmant qu'elle avait été menée en « parfaite coordination » avec Israël. Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, s'est inquiété d'une « dangereuse escalade ».

Pourquoi la Russie abandonne l’Iran.

• La Russie semble adopter une position prudente vis-à-vis de l'Iran, malgré leur partenariat stratégique. Bien que Poutine ait évoqué une médiation et maintenu le contact avec Téhéran, il a souligné que l'accord bilatéral n'inclut pas d'assistance militaire mutuelle.

• Cette retenue pourrait s'expliquer par plusieurs facteurs : la volonté de Moscou de ne pas voir l'Iran acquérir l'arme nucléaire, la diversion de l'attention internationale de la guerre en Ukraine, et l'opportunité de compliquer les négociations nucléaires de Trump. De plus,la Russie est désormais moins dépendante de l'Iran pour les drones, les produisant elle-même. 

• Moscou n'a pas fourni à l'Iran d'avions de combat ni de missiles S-400. Un changement de régime en Iran pourrait être défavorable à Poutine, et l'implication américaine pourrait affecter sa relation avec Trump. Les capacités russes sont limitées par son engagement en Ukraine.

Guerre Israël-Iran : isolé dans un bunker, préparation de sa succession… ce que l’on sait du sort de l’ayatollah Khamenei.

• L'ayatollah Ali Khamenei, menacé par Israël et les États-Unis, se serait réfugié dans un bunker souterrain et communiquerait avec sa hiérarchie militaire via un assistant de confiance. Il n'a pas fait d'apparition publique depuis plusieurs jours. 

• Conscient d'être une cible, il préparerait sa succession en demandant à l'organe religieux de choisir rapidementson successeur parmi trois candidats. 

• Son fils, Mojtaba, ne figurerait pas parmi eux. Desresponsables réformateurs auraient tenté de le joindre pour négocier, tandis que d'autres,comme Reza Pahlavi, appellent à sa démission.

Conflit Iran-Israël - Le parlement iranien s'accorde pour la fermeture du détroit d'Ormuz.

Le parlement iranien s'est accordé dimanche en faveur de la fermeture du détroit d'Ormuz,

un lieu de navigation d'importance cruciale entre le golfe persique et l'océan indien, selon

le média Al-Arabiya. Le conseil suprême de sécurité nationale de l'Iran doit encore prendre

une décision définitive.

Le détroit d'Ormuz est une zone stratégique par laquelle transite du pétrole et du gaz

destinés à de nombreux pays, dont la Chine. Il est emprunté par des navires provenant

d'Arabie saoudite, d'Irak, du Koweït, des Émirats arabes unis et d'Iran.

En 2024, 16,5 millions de barils de pétrole avaient circulé via le détroit. Son éventuelle

fermeture par Téhéran, en réponse aux attaques américaines contre trois sites nucléaires

iraniens, pose une menace importante sur le commerce mondial.

Washington presse Pékin d'empêcher l'Iran de bloquer le détroit d'Ormuz.

• Marco Rubio exhorte publiquement la Chine à dissuader l'Iran de fermer le détroit d'Ormuz après des frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens. Il souligne la dépendance de la Chine au pétrole transitant par ce détroit. 

• L'Iran a menacé de fermer le détroit en réponse à l'attaque américaine, ce qui, selon Rubio, serait un "suicide économique" pour l'Iran et nécessiterait une réponse internationale. 

• L'Iran a également menacé les bases américaines au Moyen-Orient. La Chine s'est jointe à la Russie et à d'autres pays pour condamner les frappes américaines, les accusant d'aggraver les tensions.

Pourquoi Trump bombarde… des sites iraniens déjà évacués ? Analyse de Scott Ritter, ancien officier du renseignement militaire US.

• Scott Ritter, ancien officier du renseignement militaire américain, a analysé la politique étrangère et les opérations militaires des États-Unis. Le 22 juin 2025, les États-Unis ont lancé une série de frappes aériennes contre trois sites en Iran : Ispahan, Natanz et Fordo.

• Selon l'administration Trump, l'opération, impliquant des bombardiers B-2 et des munitions GBU-57, visait à neutraliser le programme nucléaire iranien. Ritter soutient que l'impact réel de la frappe n'était pas une attaque militaire sérieuse mais plutôt de préserver l'image de Donald Trump et Benjamin Netanyahu. Les frappes ont été orchestrées par le Commandement Stratégique, possiblement avec le soutien du Commandement du Pacifique. Ritter suggère que les États-Unis auraient pu utiliser la frappe pour minimiser les risques de représailles iraniennes et donner l'illusion de la victoire, tout en se désengageant d'un conflit géopolitique. 

• Le contexte des frappes est crucial, car il révèle les vulnérabilités de l'État israélien et offre à Netanyahu une opportunité de reprendre le contrôle du récit médiatique. Ritter voit cela comme une erreur stratégique, permettant aux deux parties de se retirer sans perdre la face.

📜 Le Loup Analyse:

L’escalade entre l’Iran, Israël et les États-Unis franchit un cap historique. Les USA, sous la direction de Donald Trump revenu au pouvoir, ont frappé des cibles iraniennes — prétendument nucléaires — dans un timing soigneusement choisi. Mais l’ex-officier Scott Ritter (ex-renseignement US) lève un coin du voile : les sites étaient déjà évacués. Frappe médiatique ? Message de force vide ? Ou simple diversion ?

Dans le même temps, Téhéran s’enferme dans un bunker avec son Guide Suprême sur le déclin. La succession se prépare, dans une République islamique sous tension. L’Iran contre-attaque symboliquement en décidant, via son Parlement, de fermer le détroit d’Ormuz, couloir stratégique par où transite 20 % du pétrole mondial. Le blocus n’est pas encore effectif, mais les Américains en appellent déjà à la Chine pour qu’elle calme son allié.

Pendant que les USA bombardent des ruines, la Russie retire discrètement son soutien à l’Iran : selon certaines sources, Moscou veut éviter un conflit nucléaire qui pourrait déraper… mais Medvedev, de son côté, évoque déjà des pays prêts à fournir des ogives à Téhéran. Double langage ou jeu de dupes ?

Au même moment, un navire de commerce sombre en mer d’Oman, illustrant la fragilité d’un commerce mondial pris en otage par les tensions militaires.

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🎯 L'avis du Loup:

1. Frappe symbolique ou bluff nucléaire ?
   Trump agit-il pour reprendre la main, ou juste pour faire illusion ?

2. L’Iran bunkerisé et son guide à l’agonie :
   Quand les vieux lions se terrent, les hyènes sortent…

3. Le détroit d’Ormuz comme sablier géopolitique :
   Le grain de sable qui peut gripper l’économie mondiale.

4. Russie, Chine, USA : tous jouent double jeu.
   La partie d’échecs nucléaire est ouverte, et chaque pion est jetable.

5. Un monde suspendu au pétrole, aux nerfs et aux missiles.

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💣 Canine sarcastique:

• « Les bombes tombent sur des ruines, pendant que les vraies armes se préparent dans l’ombre. »

• « Quand l’Iran ferme Ormuz, c’est l’Occident qui manque d’air. »

• « Trump frappe, la Russie recule, la Chine temporise. Mais qui tient vraiment la mèche ? »

• « Le Guide suprême dans son bunker, le monde en suspens : la guerre du futur commence dans le passé. »

• « Une mer, un détroit, un navire coulé… et le baril qui attend le chaos. »