🗽 L.A. : couvre-feu levé, tensions apaisées… pour le moment.
1. Fin des tensions et retour à l’ordre.
Le couvre-feu instauré sur le centre-ville de Los Angeles (de 20 h à 6 h) a été levé ce mardi, après près de deux semaines d’émeutes provoquées par les raids fédéraux anti-immigration et l’arrivée musclée de la Garde nationale et des Marines time.com+13apnews.com+13politico.com+13.
2. Une militarisation contestée.
Plus de 4 000 soldats déployés, dont 700 Marines, ordonnés par Donald Trump, malgré le désaveu du gouverneur Newsom et de la maire Bass. Une première depuis les émeutes de 1992, symbole d’une réponse fédérale jugée disproportionnée nypost.com+6theguardian.com+6fr.wikipedia.org+6.
3. Évolutions contrastées.
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Arrestations : plusieurs centaines de manifestants grabés, mais les violences sont maintenant contenues reuters.com+12theguardian.com+12fr.wikipedia.org+12.
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Commerces sinistrés : petits commerces du centre-ville relèvent les rideaux, mais la recente paralysie économique a laissé des traces .
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Crise constitutionnelle : Gavin Newsom a saisi la justice pour contester la militarisation, arguant une intrusion sans autorisation fr.wikipedia.org.
🦅 Le Loup Gris Analyse:
Scène 1 – Le chaos encadré.
Les émeutes, initialement citoyennes, se transforment en confrontation franco-fédérale entre ordre et dissidence.
Scène 2 – Premier test militaire interne.
Déploiement historique de troupes actives à L.A. en pleine crise migratoire. Trump muscle sa posture.
Scène 3 – Retour au calme… provisoire.
Le couvre-feu est levé, mais les questions restent : recouvrement économique, tensions civiles, cadre légal mis à mal.
L'avis du Loup:
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Satire politique : “On fait la guerre dans la rue, et on vend ça comme ‘sécurité retrouvée’.”
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Humour noir : “Marines à la rescousse… de la paix civile… ou de l’image politique ?”
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Perspective géopolitique interne : usage inédit de l’armée à des fins domestiques, posture autoritaire.
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Engagement citoyen : exiger « démilitarisation policière » et respect des droits à manifester.
Canine sarcastique:
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« On lève le couvre-feu… mais est-ce l’ordre, ou juste le silence imposé ? »
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« 4 000 soldats pour protéger… la politique fédérale. Le prix à payer ? Notre démocratie. »
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« Pas d’émeute ? Merci aux blindés… ou aux citoyens pacifiés ? »
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« Ils ont retiré la barrière horaire. Mais la tension, elle, reste capturée dans la ville. »
🧩 Résumé.
LA tourne la page du couvre-feu, enfermant les violences nocturnes. Mais la militarisation record, les arrestations massives, et la dimension juridique posent une menace durable : la guerre civile comme instrument politique.
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