🌪️ Iran submergé, Israël en gladiateur — guerre, missiles et marasme.
1. Iran, “The Unready” version 2025.
Selon Paul Craig Roberts, l’Iran a encore prouvé qu’il est “unready” (non prêt) :
« Muslims never seize the initiative. They sit on their butts until they are decapitated… Wars are not won by retaliation » thetimes.co.uk+15paulcraigroberts.org+15paulcraigroberts.org+15.
En clair : l’Iran aurait bavé face à une attaque israélienne, répondu avec des tirs timides, comme un boxeur ringard qui parvient à peine à renvoyer le gant. Roberts s’en régale, caricaturant un pays à la tête vide, assis sur ses mains au moment où il faut cogner.
2. Quadruple nuit d’enfer : l’escalade choc.
D’après les médias :
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Ce jour 4 de guerre a vu l’Iran envoyer des salves de missiles – Tel‑Aviv, Haïfa, consulat US : dégâts et mort, 5 à 24 morts côté israélien selon les bilans rtl.fr+1tf1info.fr+1.
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Israël n’a pas perdu de temps : frappes massives à Téhéran, Natanz, casernes, quartiers résidentiels, hôpitaux iraniens endommagés, bilan > 224 civils tués x.com+5youtube.com+5tf1info.fr+5.
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La Coupole de fer a brillamment intercepté une grande partie des missiles, limitant les dégâts mais pas la panique fr.wikipedia.org.
3. La revanche comme slogan, pas comme stratégie.
Roberts critique l’Iran : un agresseur en mode réac, pas proactif. Face à une véritable guerre, ils répliquent comme après coup, un vieux réflexe de survie, pas de conquête. Biden ou Trump ? Peu importe : la diplomatie attendra.
4. Tensions géopolitiques en fond d’écran.
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L’Iran menace de sortir du Traité de non-prolifération nucléaire – un coup dans l’eau diplomatique, mais un signal dangereux youtube.com.
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EU, G7, USA, Turquie, Russie hurlent à la décrispation. Trump tente un rôle de pacificateur/pacifiste en demandant une trêve. Pendant ce temps, l’or noir danse au rythme des missiles .
🎭 Le Loup analyse: Ironie, Symboles & Perspectives.
Scène 1 — L’Iran “Unready”
Imaginez un général iranien qui, au lieu de planifier l’offensive, attend que le téléphone sonne : "Oui ? Ah, c’est Israël. Vous pouvez répéter ?" Roberts décrit un gardien endormi qui n’a pas vu venir le taureau.
Scène 2 — Israël en contre-attaque hollywoodien
Des bombardements virulents en retour : couleurs explosives, morts, hôpitaux, coucher de soleil. Un blockbuster dicté par la stratégie “frappe ou crève”. Le message est clair : “On n’est pas là pour plaisanter.”
Scène 3 — L’arène diplomatique
Le monde regarde en buvant son café : “Faut du soft power ? Non, ça explose mieux que le hard power.” Et Trump, grand pyromane/pompier, promet « peace soon » pendant que la nuit chauffe.
L'avis du Loup:
- l’Iran qui dort sur ses lauriers, Israël qui danse la gigue des bombes — pendant ce temps, les civils pleurent.
- “La doctrine du ballon prisonnier” — frappe d’un côté, riposte molle de l’autre, tout ça dans un gymnase en flammes.
- Vision exploratoire : Et si l’Iran investissait dans l’audace plutôt que dans le siècle dernier ? À quel moment le ballon sifflera « assez » et tout le monde se répartira les décombres ?
Effet de tradition : la guerre, comme toujours, revient en boucle — qu’avons-nous appris depuis 1948 ? Rien, sinon comment “unready” rime toujours avec “sanctionné”.
Canine sarcastique:
« Putain, l’Iran attend qu’Israël tape et répond comme un gosse qui arrive en retard à la récré .»
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« On dirait un match truqué : l’arbitre valide la frappe et l’Iran reprend les gants trois jours plus tard. »
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« La diplomatie, c’est pour les ratés ; ici, on joue la guerre comme on sert un planche apéro : immédiate et piquante. »
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« Les civils trinquent pendant que les gouvernements changent de costume, mais la scène reste la même : fumée, cris, politique. »
« Bulletin météo du jour à Téhéran: le temps est mossad aujourd'hui. »
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