📝 Fusillade à Nîmes : huit blessés dans un quartier gangrené.
Ce vendredi 27 juin, vers 19h15, une fusillade a éclaté dans le quartier de Valdegour à Nîmes, vers la ZUP Nord proche de Pissevin — zone identifiée comme point de deal de stupéfiants bfmtv.com+4lefigaro.fr+4rtl.fr+4.
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Bilan : entre six et huit personnes blessées, dont au moins une grièvement atteinte, état jugé « sérieux » rtl.fr.
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Munitions utilisées : environ vingt étuis de calibre .222 Remington, généralement employé pour le tir sportif, ont été retrouvés sur place.
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Mécanisme : un groupe armé provenant de Pissevin a tiré avant de s'enfuir à bord de deux véhicules, laissant les victimes dans la confusion.
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Enquête en cours : la procureure Nathalie Welté précise que les circonstances restent floues — on ignore si les blessés étaient des cibles ou des victimes collatérales fr.wikipedia.org+4bfmtv.com+4rtl.fr+4. L’enquête est menée par les polices de l’Hérault et du Gard. https://actu.fr/occitanie/nimes_30189/montpellier-que-sait-on-de-la-fusillade-a-nimes-ce-vendredi_62839216.html
🐺 Le Loup s'interroge?
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Guerre des gangs urbaine toujours active
Nîmes, et particulièrement Valdegour/Pissevin, est le théâtre d’un traffic de drogue violent, où les vendettas armées se multiplient. -
Calibre sportif, graves conséquences
L’usage du .222 montre une militarisation des trafics : les armes de chasse deviennent armes de guerre dans la cité. -
Victimes masquées, traque en cours
L’incertitude plane sur l’identité des blessés : marchands, clients, ou passants. Cela confirme la dimension civile et confuse de ce type d’attaque. -
Zone sensible non encadrée
Valdegour est clairement identifié comme une zone à risque, sans dispositif de prévention efficace — l’échec des institutions dans les quartiers populaires est criant.
🎯 La vision du Loup:
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Nîmes-Pissevin : la mafia urbaine tire toujours.
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Quand le conflit de rue explose : du deal à la guerre.
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Victimes civiles dans une guerre de gangs : l’Europe en perd le nord.
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Calibre .222 : chasse ou combat de rue ? Médiocrité d’un arsenal.
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Police désemparée : deux départements mobilisés, mais la violence persiste.
💥 Canine sarcastique:
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« Le dragster du deal passe en ville, le prix s’appelle le sang. »
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« Un quartier “cartographié” comme à feu et à sang : la géographie des Trafic Wars. »
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« Vingt étuis de .222, une dizaine de vies bousculées : bienvenue dans la chasse à l’homme urbaine. »
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« Ni armée, ni police : seules les bandes tirent. Les lois attendent le calme. »
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« Valdegour brûle, Pissevin tire, le silence politique reste complice. »
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