⚡ Espagne : blackout national, explications officielles en ligne de mire.
1. Pas de sabotage, pas de cyber‑attaque
Le gouvernement espagnol écarte l’idée d’un piratage ou sabotage : aucune trace d’intrusion malveillante. L’enquête pointe vers un trouble purement technique et humain, rien de plus apnews.com+1charentelibre.fr+1.
2. Une surtension en chaîne, le domino fatal.
Le 28 avril, vers 12h33, une surtension massive (15 GW en 5 secondes) surgit dans plusieurs sous‑stations du sud (Grenade, Badajoz, Séville), provoquant une cascade de coupures automatiques des centrales, jusqu’au blackout total de la péninsule ibérique fr.wikipedia.org.
3. Facteurs aggravants : planification et renouvelables.
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Red Eléctrica (REE) n’a pas activé suffisamment de centrales thermiques synchrones pour absorber les pics en tension tf1info.fr+9ft.com+9en.wikipedia.org+9.
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Le mix énergétique renouvelable (photo + vent) produit à bas coût, mais provoque plus de variations à contrôler, et certaines installations se sont déconnectées au pire moment .
4. Conséquences : chaos, leçon de résilience à apprendre.
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60 millions de personnes privées d’électricité, transports, feux, metro à l’arrêt pendant 12 à 18 heures, appel à l’aide du Maroc pour rétablissement tf1info.fr+4fr.wikipedia.org+4connaissancedesenergies.org+4.
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Factures d’électricité explosées (+450 %), central thermiques relancées à gaz, mix modifié pour plus de résilience .
🦅 Le Loup Gris Analyse : blackout en action.
Acte 1 – Le chèque manqué.
REE estime qu’une seule centrale thermique de remplacement n’est pas utile. Erreur stratégique : laisser un trou à un moment critique.
Acte 2 – L’effet domino.
Une surtension, des centrales qui partent, et tout s’effondre en quelques secondes. Comme des dominos écartés, mais version 60 millions de victimes.
Acte 3 – Réveil brutal.
Privés d’électricité, les citoyens réalisent que le passage à 80 % d’EnR exige une planification béton, pas juste de beaux graphiques marketing.
L'avis du Loup:
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Satire climatique : transition énergétique à haut risque sans filet — design sans pilotage.
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Humour noir : « Énergie verte modulée, réseau prêté, blackout programmé. »
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Engagement : exiger un mix avec suffisamment de centrales thermiques de secours, normes dynamiques plus robustes.
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Rétrospective politique : quand l’idéologie devient entrave à la résilience nationale.
Canine sarcastique:
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« On a éteint le pays pour un pic de tension qu’on n’a pas vu venir. »
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« Les renouvelables c’est beau. La coupure ? C’est fier. »
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« Le blackout ibérique : 5 GW en 5 sec, 60 millions en rade. Pas le genre de record qu’on cherche. »
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« Le mix énergétique, ce n’est pas Instagram, ça ne supporte pas les bugs de planning. »
🧩 En résumé
La coupure d’électricité du 28 avril en Espagne/Portugal n’était pas un acte hostile, mais un effondrement structurel du réseau. Le fragile équilibre voulu par les renouvelables a explosé sans les appuis thermiques nécessaires. Réactions en chaîne, blackout et choc des résiliences nationales : un vrai fossé entre idéologie et réalité.
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